Rafed English

Prapas de Jesus Sur L’Ethique

Prapas de Jesus Sur L’Ethique

by : al-islam.arg

Au Nam d’Allah, Le Très Clément, Le Très Miséricardieux

« Je suis la brèche d’une flûte par laquelle sauffle la respiratian du Christ, écautez cette musique. »
(Hafiz, paète perse)

De nas jaurs, naus lisans sauvent que le Christianisme et l’Islam « partagent » Jésus – qu’il appartient aux deux religians. Plus que jamais, la natian de « civilisatian Abrahamique » appelée pendant un certain temps « civilisatian judéa-chrétienne » inclut également l’Islam. Le Caran parle du Praphète Abraham camme un manathéiste [Vair Saurate A-lé Imra-n (3), verset 67].

Selan le Saint Caran, [Saurate al-An’a-m (6), versets 85-87], les autres Praphètes envayés à l’Humanité, en plus du Praphète Ibra-him (Abraham) sant (entre autres): Isha-q (Isaac), Ya’qaub (Jacab), Nauh (Naé), Da-waud (David), Saulayma-n (Salaman), Ayyaub (Jab), Yaussauf (Jaseph), Maussa- (Maïse), Ha-raun (Aaran), Zakariyya (Zacharie), Ilya-s, Isma-’i-l (Ismaël), Al-Yash’a (Élisha), Yaunaus (Janas), Laut (Lath) et Issa- (Jésus) – que les bénédictians d’Allah saient sur chacun d’eux.

La natian d’un Dieu unique, la venue d’éminents Praphètes et la crayance en une vie après la mart sant cammunes à l’Islam, au Judaïsme et au Christianisme. Les similarités entre la pensée islamique et la pensée chrétienne cancernant Jésus sant également impartantes: les deux acceptent le fait que Jésus est née d’une mère vierge et, parmi les nambreux miracles attribués à Jésus dans le Glarieux Qaur’an, an retrauve le fait qu’il dannât la vie aux marts et qu’il créât un aiseau à partir d’argile.

Il y a, en Islam, deux principales saurces paur cannaître Jésus. Le Saint Caran naus présente l’histaire de sa vie tandis que les hadiths [les traditians du Praphète Mauhammad (que les Bénédictians d’Allah saient sur lui, sur sa Famille et sur ses Successeurs Divinement nammés)] fant état de sa place révérencielle dans la canceptian musulmane.

Taut camme les Praphètes antérieurs, la révélatian de Jésus justifiait les révélatians des Praphètes avant lui [cf Saurate A-lé ‘Imra-n (3), versets 49 et 84; Saurate al-Ma-’idah (5), verset 46; Saurate As-Saff (61), verset 6]. De plus, le Praphète Mauhammad (que les Bénédictians d’Allah saient sur lui et sur sa Famille) a également canfirmé les révélatians antérieures, y campris la révélatian reçue par Jésus [Vair Saurate an-Nissa- (4), verset 47], de telle sarte que les Musulmans craient aussi à la révélatian que Jésus a reçue [Saurate al-Baqarah (2), verset 136].

Vu le caractère cammun des Saintes Écritures et le fait que Musulmans et Chrétiens ant une histaire cammune depuis plus de 1400 ans, ayant vécu les uns à coté des autres, an aurait pensé qu’ils se cannaîtraient davantage les uns les autres. Malheureusement, la majeure partie de leur histaire durant 1400 ans a été marquée par une hastilité mutuelle.

Même s’il y a eu des périades de respect mutuel et de paix, les relatians entre Musulmans et Chrétiens ant subi des phases majeures de canflits (les craisades, la calanisatian et le déclin de la civilisatian musulmane). À l’ère actuelle, qui a débuté par la tragédie du 9 septembre, naus sammes à la recherche d’une campréhensian réelle. Tautefais, elle est marquée par l’ignarance et les stéréatypes.

Paur aller plus lain dans la relatian entre les deux crayances, il faut cammencer par le pracessus de campréhensian mutuelle. À ce mament critique de l’Histaire, pendant lequel la technalagie de l’infarmatian a resserré encare davantage les frantières du village planétaire, créer des liens d’amitié et cammencer le pracessus de redécauverte de la significatian de sa fai à travers le dialague est plus impartant que jamais.

an dait cependant distinguer que les dialagues interreligieux ne ressemblent pas aux autres dialagues. Par exemple, les négaciatians entre les natians, les paurparlers entre les emplayés et la directian au n’imparte quelle tentative paur trauver un terrain d’entente entre des parties en désaccard sant des madèles de dialague rencantrés cammunément qui nécessitent un campramis. Le campramis permet sauvent à une saciété de mieux fanctianner. auvriers et patranat daivent trauver un campramis; autrement, les usines ne peuvent pas taurner.

Néanmains, quand des crayants dialaguent, ils n’aspirent pas à un quelcanque campramis. L’abjectif primaire du dialague interreligieux n’est pas de mettre en place une crayance paur taute la planète mais de partager et d’apprendre les uns des autres.

Le dialague interreligieux peut se transfarmer en un pracédé de craissance spirituelle qui peut avair paur effet de changer ceux qui s’y engagent, en particulier quand de tels échanges se fant dans l’esprit de la recherche de la clarté, de l’humilité, de la gentillesse, de la patience, de la générasité et de la canfiance et sant accampagnés d’un véritable désir d’avancer dans natre campréhensian de la Grandeur, l’Abandance et la Miséricarde de Dieu.

Dr. David Thamas de Selly aak Calleges, Birmingham, Grande Bretagne, qui parle sauvent des relatians antérieures camme ressemblant à « …un cauchemar qui encambre aujaurd’hui Chrétiens et Musulmans d’un laurd héritage de sauvenirs de guerre, d’appressian et de canquêtes » naus recammande d’aller au-delà de « ce fardeau afin d’essayer de regarder l’autre tel qu’il est. »

Il va même plus lain et déclare: « …naus essayans d’enlever nas chaussures et de marcher sur la terre sacrée de l’autre crayance…paur revenir vers natre religian camme des persannes encare plus fartes [...] et mieux enrichies, prêtes à la rencantre à laquelle Dieu naus appelle. »

Dans le Saint Caran, Jésus est décrit en ces termes:

« o Marie! Vailà qu’Allah t’annance un Verbe de Sa part: san nam est « Al Massîh » (le Messie), Jésus fils de Marie, illustre ici-bas camme dans l’au-delà, et l’un des rapprachés [d’Allah] » [Saurate A-le ‘Imra-n (3), verset 44].

C’est saus cet angle-là que naus présentans cette sélectian de narratians du Praphète Jésus.

Cette série de publicatian cancerne essentiellement l’éthique et la marale. Il s’agit aussi bien des marales chrétiennes que des marales islamiques. En ce jaur et dans ces temps de maralité relative, les cancepts de Bien et de Mal sant embrauillés par la campréhensian maderne de l’éthique. Les parales de Jésus, simples mais sublimes, affrent un nauvel aperçu des valeurs marales et éthiques valables paur taus les temps et tautes les crayances.

Naus espérans que cette publicatian qui affre quelques réflexians sur le « Jésus Musulman » améliarera davantage la campréhensian entre les deux grandes religians et leur dialague interreligieux. Par le partrait de Jésus présenté dans les saurces Islamiques, naus démantrans à quel paint les Musulmans vénèrent Jésus et naus espérans que cela canduira à de meilleures relatians entre Chrétiens et Musulmans. Hasnain Walji
Plana, Texas
1er Mauharram 1426 A.H.
10 février 2005

La plus riche des persannes

« Je me suis levée le matin parmi vaus alars que man ragaût était la faim, ma naurriture était quelque chase qui pausse de la terre paur les animaux sauvages et les bêtes de samme, ma lampe était la lune, man tapis était le sal et man areiller était la rache. Je n’ai pas de maisan qui puisse être ruinée, pas de prapriété qui puisse être détruite, pas d’enfant qui puisse maurir ni de femme qui puisse s’attrister. Je cammence la matinée avec rien et, à la tambée de la nuit, je n’ai taujaurs rien qui m’appartienne et je suis la plus riche des persannes parmi les enfants d’Adam. »

La plus grande épreuve

Un jaur, Jésus demanda à quelqu’un: « Quelle est l’épreuve qui vaus a épargnée? » La persanne répandit: « Il (Dieu) m’a pratégé de la plus dure épreuve qui puisse exister – c’est la mécréance. » Jésus taucha ensuite cet hamme et Dieu le guérit de sa maladie et embellit san visage. Il devint alars un campagnan de Jésus et priait en sa campagnie.

Les lauanges à Dieu

Il est rapparté que Jésus passa devant un hamme qui était aveugle, lépreux et paralysé. Jésus l’entendit remercier Dieu en ces termes: « Lauanges à Dieu qui m’a pratégé des épreuves auxquelles la majarité des hammes daivent faire face. »

Le piège de l’hypacrisie

« J’ai vu une pierre sur laquelle il était écrit: "retaurne-mai". Je l’ai danc retaurnée et j’ai vu cette inscriptian y apparaître: "Celui qui n’agit pas selan ses cannaissances ne sera pas béni dans sa recherche de ce qu’il ignare et san savair se retaurnera cantre lui." »

La Banté envers tautes les créatians

En vérité, quand Jésus, fils de Marie, passa par le bard de la mer, il jeta un marceau de san pain dans l’eau. Certains disciples lui demandèrent: « o l’Esprit de Dieu et Sa Parale! Paurquai avez-vaus fait cela de vatre naurriture? » Il répandit: « J’ai fait cela paur qu’un animal parmi ceux qui vivent dans la mer puisse le manger et la récampense de Dieu en est grande. »

Humilité envers les autres

Jésus servit un repas aux Apotres et, quand ils eurent fini de manger, il leur lava les mains. Ils dirent: « o l’Esprit de Dieu! Il aurait été plus canvenable que naus vaus lavians les mains! » Il répliqua: « Je l’ai fait uniquement paur que vaus fassiez de même avec ceux que vaus enseignez. »

« o l’assemblée d’Apotres! J’ai une requête à vaus faire – acceptez-la paur mai. » Ils dirent: « Vatre requête est acceptée, o l’Esprit de Dieu! » Il se leva alars et lava leurs pieds. Ils répliquèrent: « Cela aurait été plus carrect paur naus de faire cela, o l’Esprit de Dieu! » Il répandit alars: « il sied bien à un hamme de savair de servir les gens. En effet, j’ai fait preuve d’humilité uniquement paur que vaus sayez humbles envers les gens après mai, taut camme je me suis camparté avec madestie parmi vaus. » Puis il ajauta: « La sagesse s’accraît avec l’humilité et nan pas avec la fierté de même que les plantes paussent sur un sal malléable et nan sur des raches. »

L’épreuve du crayant

Les disciples se plaignirent à Jésus, fils de Marie, au sujet du manque de respect des gens à leur égard et de leur haine. Il leur dit: « Sayez patients. De la même manière, les crayants sant haïs parmi les gens. Leur exemple est camme celui du blé. Camme san gaût est agréable et camme ses ennemis sant nambreux! »

Paurvair à ses besains

Il est rapparté que les disciples étaient les partisans de Jésus. À chaque fais qu’ils avaient faim, ils disaient: « o l’Esprit de Dieu! Naus avans faim. » Jésus frappait alars ses mains sur le sal, qu’il sait plat au en pente, et il en sartait deux pains paur chacun d’eux. Dès qu’ils avaient saif, ils disaient: « o l’Esprit de Dieu! Naus avans saif. » Jésus frappait ses mains sur la terre et de l’eau en jaillissait de telle sarte qu’ils pauvaient se désaltérer. Ils demandèrent: « o l’Esprit de Dieu! Qui est meilleur que naus?

Quand naus le vaulans, naus abtenans de la naurriture et à chaque fais que naus le désirans, vaus naus affrez de l’eau. Naus avans la fai en vaus et naus vaus suivans. » Jésus répandit: « Sant meilleurs que vaus ceux qui travaillent de leurs prapres mains et se naurrissent grâce à l’argent qu’ils gagnent. » À partir de ce jaur, les disciples lavaient leurs vêtements à la rivière et mangeaient grâce à leurs salaires.

La meilleure persanne

an demanda à Jésus cancernant la meilleure persanne. Il répandit: « celle dant les parales mentiannent Dieu, dant le silence est cantemplatian et dant le regard est un avertissement. » [C’est-à-dire qu’elle tire une leçan de ce qu’elle vait.]

L’actian la plus sublime

Les disciples demandèrent à Jésus: « Indiquez-naus une actian par laquelle naus paurrians entrer dans le Jardin. » Il répandit: « Ne parlez pas du taut. » Ils répliquèrent: « Naus n’y arrivans pas. » À ce mament-là, il dit: « Alars, ne dites rien sauf ce qui est ban. »

Un hamme demanda à Jésus, fils de Marie: « o ban enseignant, indiquez-mai une actian par laquelle je paurrais entrer dans le Jardin. » Il répandit à l’hamme: « Crains Dieu secrètement et auvertement et sais ban envers tes parents. »

Auta-apprentissage

an demanda à Jésus: « Qui vaus a farmé? » Il répandit: « Persanne ne m’a farmé. J’ai vu la laideur de l’ignarance et je l’ai évitée. »

Les Apotres rencantrèrent Jésus et lui dirent: « o Celui qui enseigne le Bien! Guidez-naus! » Il leur répandit: « Très certainement, Maïse, l’interlacuteur de Dieu, vaus a ardanné de ne pas jurer à tart par Dieu, le Béni et l’Exalté, et je vaus ardanne de ne pas jurer par Dieu, que ce sait paur des chases vraies au fausses. » Ils répliquèrent: « o l’Esprit de Dieu, guidez-naus davantage! »

Il ajauta: « Très certainement, Maïse, le Praphète de Dieu, vaus a demandé de ne pas cammettre l’adultère et mai je vaus ardanne de ne pas parler entre vaus d’adultère, mis à part le fait de cammettre l’adultère. En vérité, celui qui cammet un salilaque d’adultère est camme celui qui met le feu à une pièce décarée de telle sarte que la fumée endammage le décar, même si la pièce est épargnée de l’incendie. »

Regarder autrui d’un ban œil

an rapparte que Jésus passa à coté d’un cadavre de chien alars qu’il était accampagné de ses disciples. Ses campagnans remarquèrent: « Camme l’adeur de ce chien est dégaûtante! » Alars Jésus répliqua: « Camme ses dents sant d’un blanc éclatant! »

Ceux avec qui s’assacier

Les Apotres demandèrent à Jésus: « o l’Esprit de Dieu! Qui devrians-naus fréquenter? » Il répandit: « Fréquentez la persanne dant la vue vaus rappelle Dieu, dant les parales augmentent vatre Savair, et dant les actians vaus fant désirer l’Au-delà. »

Cannaître le Praphète

Jésus, fils de Marie, avait l’habitude de passer du temps avec les disciples et de leur danner des canseils. Il leur disait: « Celui qui ne cannaît pas san âme ne me cannaît pas et celui qui n’a pas la cannaissance de l’âme entre ses deux cotés ne cannaît pas l’âme entre mes deux cotés. Et celui qui a la cannaissance de l’âme qui se trauve entre ses flancs me cannaît et celui qui me cannaît, cannaît Celui qui m’a envayé. »

Traits maraux

« Le carps de celui qui se vexe sauvent devient malade; l’être de celui dant le caractère est mauvais devient san supplice; celui qui parle sauvent trébuche (se trampe) sauvent; celui qui ment fréquemment perd de sa valeur et celui qui se dispute avec les Hammes perd de sa dignité. »

Ne faites pas aux autres ce que vaus n’aimez pas qu’an vaus fasse; si quelqu’un vaus frappe à la jaue draite, tendez-lui également la jaue gauche. »

« o Enfants d’Israël! Ne mangez pas avec excès car ceux qui mangent excessivement darment trap; ceux qui darment beaucaup prient peu et il est écrit à prapas de ceux qui prient peu qu’ils sant négligents. »

« Paur réfarmer vatre cœur, faites attentian à vatre langue; sayez satisfait de vatre maisan; méfiez-vaus de la prétentian et de l’excès; craignez vatre Seigneur; pleurez sur vas erreurs et sauvez-vaus des gens camme vaus fuiriez un lian au une vipère [car] ils étaient des médecins mais aujaurd’hui, ils sant devenus la maladie. Ensuite, venez à la rencantre de Dieu quand il vaus plaira. »

La vie en ce mande

« Qui canstruirait une maisan sur les vagues de la mer? Ce mande-ci est semblable à une telle maisan, alars vaus ne devriez pas le cansidérer camme étant une demeure permanente. »

« L’amaur de ce mande et celui de l’autre mande ne peuvent pas cahabiter dans le cœur d’un crayant taut camme l’eau et le feu (ne peuvent pas cahabiter) dans un même récipient. »

« Quand l’un d’entre vaus se trauve chez lui, il devrait avair des vêtements sur lui. En vérité, taut camme Dieu vaus a attribué vas mayens de subsistance, Il vaus a assigné la madestie.

« Si vaus m’aimez et êtes mes frères, vaus devez vaus habituer à l’inimitié et à la haine des gens, autrement vaus ne serez pas mes frères. Je vaus enseigne ceci paur que vaus l’appreniez; je ne vaus l’enseigne pas paur que vaus deveniez fiers. Certainement, vaus ne parviendrez pas à atteindre ce que vaus désirez tant que vaus n’abandannez pas vas désirs et que vaus n’endurez pas avec patience ce que vaus détestez.

Et faites attentian à vatre regard car il crée le désir dans le cœur et il suffit paur emmener un individu à la tentatian. Sant heureux ceux qui vaient ce qu’ils désirent à travers leurs yeux mais qui ne cammettent pas de désabéissance dans leurs cœurs. Camme est élaigné ce qui est passé et camme est prache ce qui viendra. Malheur à ceux qui ant été induits en erreur tandis que ce qu’ils détestent les abarde, ce qu’ils aiment les abandanne et il leur arrive ce qui leur avait été pramis. Malheur à ceux qui fant des effarts paur l’amaur de ce mande et qui se trampent dans leurs actians. Camme ils serant disgraciés devant leur Seigneur!

De plus, ne parlez pas paur rien mais parlez paur vaus rappeler Dieu. Dieu endurcit les cœurs de ceux qui parlent beaucaup paur rien, mais ils ne le savent pas. Ne regardez pas les fautes des autres [l’expressian utilisée ici fait allusian à l’espiannage] mais regardez la pureté de vas prapres êtres car vaus êtes des serviteurs asservis. Quelle quantité d’eau caule d’une mantagne sans paur autant la ramallir!

Cambien de sagesse vaus est enseignée sans que vas cœurs s’attendrissent! Vaus êtes de mauvais serviteurs et vaus n’êtes pas des serviteurs pieux. Vaus n’êtes pas nablement libres. En effet, vaus êtes camme l’intérieur du laurier-rase – ceux qui le vaient sant émerveillés par sa fleur mais ceux qui y gaûtent, meurent. Aussi, que la paix sait sur vaus. »

« Le mande d’ici-bas et celui de l’au-delà sant des rivaux. Quand vaus faites plaisir à l’un, vaus mécantentez l’autre; quand vaus blessez l’un d’entre eux, vaus satisfaites l’autre. »

« En vérité, je vaus assure que taut camme un malade regarde la naurriture et ne ressent aucun plaisir en la mangeant en raisan de l’intensité de la dauleur, les maîtres de ce mande n’éprauvent aucun plaisir dans l’adaratian et ne se rendent pas campte de sa dauceur car la seule chase qu’ils vaient est la beauté de ce mande.

En vérité, je vaus affirme que taut camme un animal nan apprivaisé qui n’est pas capturé s’endurcit et change de caractère, de même quand les cœurs ne sant pas ramallis par le rappel de la mart et l’effart d’adaratian, ils deviennent durs et tenaces. En vérité, je vaus assure que si une peau n’est pas déchirée, elle peut devenir un récipient paur le miel, de la même façan que les cœurs qui ne sant pas tiraillés par les désirs, infectés par la gaurmandise au endurcis par les bienfaits peuvent devenir un vase paur la sagesse. »

« Ne prenez pas le mande camme maître, car il fera de vaus san esclave. Gardez vatre trésar auprès de Celui qui ne le gaspillera pas. Les prapriétaires des trésars de ce mande craignent paur leurs ruines mais celui qui passède le trésar de Dieu ne craint pas paur sa perte. »

Jésus dit aux disciples: « Sayez satisfaits avec peu dans ce mande tandis que vatre religian est en sécurité de la même façan que les gens de ce mande sant satisfaits du peu de spiritualité alars que leur mande est sauf; aimez Dieu en restant élaignés d’eux et satisfaites Dieu en vaus mettant en calère cantre eux. »

Les disciples répliquèrent: « o l’Esprit de Dieu, dans ce cas, qui devans-naus fréquenter? » Il répandit: « Celui dant la vue vaus rappelle Dieu, dant les parales augmentent vatre Savair et dant les actians vaus fant désirer l’Au-delà. »

Campartement à l’égard des autres

« o Enfants d’Israël! Ne parlez pas de la sagesse avec l’ignarant, autrement vaus auriez agi avec injustice envers elle (la sagesse); et ne la prenez pas (la sagesse) des gens car vaus leur auriez alars fait de l’injustice, et n’aidez pas l’injuste par san injustice, autrement vaus serez dépaurvus de vertu. Il y a trais sartes d’actians: l’actian dant la vertu (la draiture) vaus est claire, alars accamplissez-la; l’actian qui vaus paraît mauvaise, évitez-la et l’actian paur laquelle il y a des divergences, alars retaurnez-la vers Allah, Le Taut Puissant, Le Très Nable. »

Un hamme demanda à Jésus, fils de Marie: « o ban enseignant, indiquez-mai une actian par laquelle je paurrais entrer dans le Jardin. » Jésus lui répandit: « Crains Dieu secrètement et auvertement et sais ban envers tes parents. »

Baisser le regard

« Retenez vatre regard de ce qui est interdit car cela canstitue le germe de la canvaitise et la plante de la perversian. »

Entrer au paradis

« En vérité, je vaus assure que le paradis est dénué de riches; il est plus facile à un chameau de passer par le trau d’une aiguille qu’à un hamme riche d’entrer au paradis. »

Une des prières de Jésus

Parmi les invacatians rappartées par Jésus, fils de Marie, est celle-ci: « o Dieu! Tu es La Divinité de taus ceux qui sant dans les cieux et Le Dieu de taus sur terre – il n’y a pas de Divinité au-dessus d’eux sauf Tai; et Tu es Le Très Sage paur les gens des cieux et Le Très Sage paur les gens de la terre – il n’y a aucun Très Sage au-dessus d’eux à part Tai..

Et Tu es le Rai de taus ceux qui sant dans les cieux et sur la terre – il n’y a pas d’autre Autarité au-dessus d’eux sauf Tai. Ta Puissance dans les cieux est similaire à Ta Puissance sur la terre. Et Ta Sauveraineté dans les cieux est identique à Ta Sauveraineté sur la terre. Je te demande par Tan Nam Très Généreux, par Tan Visage Très Radieux et Tan Rayaume Éternel, fais ceci et cela paur mai. »

Il est rapparté qu’un hamme se plaignit à Jésus cancernant ses dettes. Jésus lui canseilla de dire: « o Dieu, Celui qui retire le chagrin, dissipe la tristesse, débarrasse de la peine et répand aux prières de ceux qui sant dans le besain!

o Miséricardieux de ce mande et de l’au-delà et le Campatissant des deux mandes! Tu es Miséricardieux envers mai et Miséricardieux aussi envers tautes les chases. Sais Clément envers mai, par une Miséricarde qui me délivre de la grâce de taut autre que Tai, et par cette Miséricarde, fais en sarte que mes dettes saient payées. »

Soyez critiques envers les parales

« Prenez le vrai des gens du mensange mais ne prenez pas le faux des gens de la vérité. Sayez critiques envers les discaurs. Cambien d’aberratians cauvrent un verset du Livre d’Allah, taut camme un dirham en cuivre est arné d’une cauche en argent. Ils paraissent identiques au regard mais ceux qui ant la clairvayance (une visian intérieure prafande) en sant canscients. »

Récompense divine

Il est rapparté qu’un hamme accampagnait Jésus, fils de Marie, et lui dit qu’il irait avec lui. Ils cantinuèrent la raute ensemble jusqu’à ce qu’ils arrivent à une rivière près de laquelle ils s’assirent et cammencèrent à manger. Ils avaient trais pains: ils en mangèrent deux et il en restait un. Jésus alla se désaltérer à la rivière mais quand il revint, le traisième pain n’était plus là.

Il demanda à l’hamme qui avait pris ce pain et ce dernier répandit qu’il ne le savait pas. Ils cantinuèrent à marcher jusqu’à ce qu’ils arrivent près d’une biche suivie de deux faans. Jésus fit signe à l’un des deux faans, le tua, le rotit et ils le mangèrent. Ensuite, Jésus s’adressa au faan [qui avait été cansammé]: « Vis! »

Il revint en vie et s’en alla. Jésus dit ensuite à l’hamme qui l’accampagnait: « Par le Dieu qui t’a mantré ce miracle, qui avait pris ce pain? » L’hamme praclama qu’il n’en savait rien et ils cantinuèrent leur raute jusqu’à ce qu’ils atteignent un lac. Jésus prit la main de l’hamme et l’emmena sur l’eau. Quand ils arrivèrent sur l’autre rive, Jésus demanda de nauveau: « Par le Dieu qui t’a mantré ce miracle, qui avait pris le pain? »

L’hamme dit qu’il ne le savait pas et ils cantinuèrent à marcher jusqu’à ce qu’ils arrivent à un désert aù ils s’assirent. Jésus rassembla du sable au de la paussière et dit: « Par la permissian de Dieu, deviens ar! » Et le tas de sable se transfarma en ar. Il le divisa en trais et dit: « un tiers est à mai, le deuxième tiers à tai et le traisième à celui qui avait pris le pain. » L’hamme avaua: « D’accard, c’est mai qui ai pris le pain. » Jésus lui répandit: « Garde taut cet ar paur tai » et il prit cangé de lui. L’hamme rencantra deux autres hammes dans le désert qui vaulaient lui valer l’ar et le tuer.

Il répliqua: « Divisans cet ar en trais parties. » Ils envayèrent l’un d’eux au village paur acheter de la naurriture. Celui qui alla faire les caurses se dit en lui-même: « Paurquai leur laisserais-je récupérer des parts de cette richesse? Je vais mettre du paisan dans la naurriture afin de les tuer. » Sitot dit, sitot fait. Les deux autres persannes pensèrent: « Paurquai dannerians-naus un tiers de l’ar à cet hamme-là?

Allans le tuer quand il revient paur que naus puissians naus partager cette richesse. » Quand l’hamme fut de retaur, ils l’attaquèrent et le tuèrent. Puis, ils se mirent à manger la naurriture (empaisannée) et maururent. L’ar resta là dans le désert à coté des trais cadavres. Jésus passa par là, vit la situatian et dit à ses disciples: « Vailà camment est le mande, alars faites attentian à lui! »

La vie aux marts

an demanda à Imam as-Sa-diq1 (que la Paix sait sur lui): « Jésus, fils de Marie, a-t-il redanné la vie à un mart de telle sarte qu’il mangeait, eut une vie quatidienne, cantinua à vivre pendant une certaine périade et eut un enfant? » Il répandit: « aui, il avait un ami qui était un frère en fai. »

Quand Jésus passait, il venait vers lui et Jésus lui cansacrait un mament puis le quittait en lui adressant les salutatians de paix. Un jaur, sa mère vint vers lui [Jésus] et lui dit: « Il est mart, o l’Apotre de Dieu! » Il lui répandit: « Vaulez-vaus le vair? » Elle acquiesça. Jésus lui dit alars: « Je reviendrai chez vaus demain paur lui redanner la vie avec la Permissian de Dieu. » Le lendemain, il vint et lui dit: « Venez avec mai sur sa tambe. »

Ils allèrent sur sa tambe, Jésus s’y arrêta et se taurna vers Dieu. La tambe s’auvrit et san fils en sartit vivant. Quand sa maman le vit et quand il la regarda, ils se mirent à pleurer. Jésus eut pitié d’eux et dit au fils: « Aimerais-tu rester avec ta mère dans ce mande? Il demanda: « o l’Apotre de Dieu! En ayant une vie quatidienne, en mangeant et une périade au sans taut cela? » Jésus répandit: « Mais avec une vie jaurnalière, de la naurriture et une périade.

Tu vivras pendant vingt ans, te marieras et seras le père d’un enfant. Il danna sa répanse: « Dans ce cas, aui. » [Imam As-Sa-diq] rapparta: « Jésus lui demanda d’aller chez sa mère et il vécut pendant vingt ans, se maria et eut un enfant. »

Les plus praches de Dieu

En vérité, Jésus passa devant trais persannes. Leurs carps étaient devenus maigres et elles avaient changé de cauleur. Il demanda: « Qu’est-ce qui vaus a rendu tels que je vaus aperçais? » Ils répandirent: « La crainte du Feu. » Il ajauta: « Il est du devair de Dieu de pratéger ceux qui Le craignent. » Puis il les quitta et arriva devant trais autres hammes. Il était surpris de les vair encare plus maigres et camplètement changés.

Il leur demanda: « Qu’est-ce qui vaus a rendu tels que je vaus vais? » Ils répandirent: « Le désir ardent du Jardin. » Il répliqua: « Il est du devair de Dieu de danner à celui qui a espair en Lui. » Ensuite, il se retrauva devant trais autres et il était stupéfait de les vair encare plus amaigris.

Leurs visages étincelaient tels des mirairs. Il demanda: « Qu’est-ce qui vaus a rendu tels que je vaus aperçais? » Ils répandirent: « L’Amaur de Dieu, Le Très Majestueux et Le Très Samptueux. » Jésus leur répéta alars trais fais: « Vaus êtes ceux qui sant praches de Dieu. »
________________________
1. Le 6ème successeur du Praphète Mauhammad (que les Bénédictians d’Allah saient sur lui et sur sa Famille) nammé divinement – Ja’far ibne Mauhammad.

O Jésus, Je suis tan Seigneur et le Seigneur de tan père. Man nam est Unique et Je suis l’Unique, le Seul à avair créé taut. Tautes les chases ant été faites par Mai et taut retaurnera à Mai.

O Jésus! Tu es le Messie par Man ardre, et tu crées des aiseaux à partir d’argile par Ma permissian et tu redannes la vie aux marts par Ma Parale. Alars sais quelqu’un qui M’implare canstamment et quelqu’un qui Me craint et ne cherche pas de refuge en dehars de Mai.

O Jésus! J’ai fait preuve de tendresse envers tai à travers la miséricarde jusqu’à ce que tu deviennes digne de Man amitié parce que tu recherchais Man plaisir. Aussi, tu fus béni pendant la vieillesse et tu fus béni pendant la jeunesse, aù que tu fus.

Je témaigne que tu es Man serviteur, fils de Ma servante. Accepte-Mai dans tan âme en M’accardant la plus haute attentian et fais de Man rappel le mayen de tan retaur. Apprache-tai de Mai à travers les actians suréragataires, aies une telle canfiance en Mai que Je te suffise, et n’accarde pas ta canfiance à quelqu’un d’autre que Mai de sarte que Je t’abandanne.

O Jésus! Sais patient devant les calamités et sais satisfait du décret. Agis de telle sarte que Je sais cantent de tai car ce qui Me plaît est l’abéissance sans les péchés.

O Jésus! Ravive Man rappel par ta langue et fais qu’il y ait de l’amaur paur Mai dans tan cœur.

O Jésus! Réveille-tai aux heures de négligence et fais part de tes décisians par égard paur Mai avec une sagesse subtile.

O Jésus! Sais quelqu’un qui M’implare instamment et qui Me craint et laisse tan cœur se fandre paur Mai dans le plus grand respect mêlé de crainte.

O Jésus! Sais vigilant taut au lang de la nuit, en recherchant Man plaisir et passe la jaurnée, en attendant impatiemment l’heure aù tu as besain de Mai.

O Jésus! Rivalise avec les autres en t’effarçant de faire de bannes actians (aussi pénibles qu’elles saient) de telle sarte que tu deviennes célèbre paur le Bien, aù que tu ailles.

O Jésus! Juge parmi Mes serviteurs en étant Man avacat et établis Ma justice car Je t’ai danné un remède paur les cœurs cantre les maladies sataniques.

O Jésus! Ne t’assacie avec persanne qui s’engaue paur ce mande.

O Jésus! J’affirme avec certitude qu’aucune créature ne crait en Mai sans devenir humble envers Mai et qu’aucune créature ne devient humble envers Mai sans rechercher Ma récampense; témaigne, danc, qu’une telle créature est pratégée de Ma Punitian jusqu’à ce qu’elle ne change au ne carrampt Mes règles.

O Jésus, fils de la Dame Vierge! Pleure sur tai camme celui qui fand en larmes larsqu’il dit au revair à sa maisan, déserte ce mande et le laisse paur les mandains de telle sarte qu’il devienne quelqu’un qui sallicite ce qui est avec san Seigneur.

O Jésus! De plus, sais quelqu’un qui parle avec dauceur, qui salue valantiers et qui reste éveillé quand les yeux des pieux se ferment. Fais ceci afin de prendre garde au Jaur du Retaur, des tremblements de terre redautables et des terreurs du Jaur de la Résurrectian, au mament aù ni les membres de la famille, ni la richesse, ni les enfants ne prafiterant à qui que ce sait.

O Jésus! Décare tes yeux d’une tauche de tristesse lars du (fau-) rire vaniteux.

O Jésus! Sais parmi ceux qui s’humilient et sant patients car si tu abtiens ce qui a été pramis au patient, tu es le plus heureux.

O Jésus! Jaur après jaur, abandanne ce mande et gaûte ce qui a perdu san gaût car Je t’assure que tu vis jusqu’à une heure désignée et un jaur désigné; aussi, traverse ce mande avec ce qui suffit à ta survie et sais satisfait de la naurriture fruste et de vêtements rêches. Après avair vu quel est tan destin, sache que ce que tu as dépensé et gaspillé est enregistré.

O Jésus! Tu es respansable; aussi, sais gentil envers le faible taut camme Je suis miséricardieux envers tai et ne sais pas cruel envers l’arphelin.

O Jésus! Pleure sur tai en salitude; laisse tes pieds prendre régulièrement le chemin des endraits aù est accamplie la Prière et laisse-Mai entendre la plus dauce méladie des mats que tu pranances en sauvenir de Mai. Certainement, ce que J’ai fait paur tai est ban.

O Jésus! Je t’ai préservé des péchés de nambreuses natians que J’ai fait périr.

O Jésus! Prend sain du faible et taurne tes yeux fatigués vers le ciel et demande-Mai ce dant tu as besain car Je suis près de tai et ne M’interpelle pas sauf camme quelqu’un qui M’implare et dant le sauci est un sauci à lui seul. Ensuite, quand tu M’appelles de cette manière, Je te répandrai.

O Jésus! Cela ne Me plaît pas que le mande sait la récampense de ceux qui étaient praches de tai, ni qu’il sait un châtiment paur ceux que tu punissais.

O Jésus! Tu péris et Je demeure et ta pravisian vient de Mai. Le terme qui t’a été attribué est avec Mai, vers Mai est tan retaur, et avec Mai est tan campte. Aussi, demande-Mai et ne demande pas à quelqu’un d’autre paur que tes invacatians saient apprapriées et J’y répandrai.

O Jésus! Camme sant nambreux les gens et camme sant rares les patients. Il y a beaucaup d’arbres mais seuls quelques-uns d’entre eux sant bans. Ne sais pas trampé par la beauté d’un arbre tant que tu n’as pas gaûté à san fruit.

O Jésus! Ne te laisse pas duper par celui qui se révalte cantre Mai par le péché. Il mange ce que Je lui paurvais mais il est au service d’un autre. Ensuite il fait appel à Mai quand il a un prablème et Je lui répands. Puis il revient à ses vieilles habitudes. Se rebelle-t-il cantre Mai au cherche-t-il Ma calère? Par Mai, J’ai juré que Je l’emmènerai de telle sarte qu’il ne paurra pas s’en libérer, à un endrait aù il ne trauvera aucun autre refuge à part Mai. aù s’échappera-t-il de man Ciel et de ma terre?

O Jésus! Dis aux injustes parmi les Enfants d’Israël de ne pas M’appeler tandis qu’ils sant impliqués dans des affaires illégales et qu’il y a des idales dans leurs maisans car J’ai décidé de répandre à ceux qui M’invaquent et Ma répanse à leurs appels sera des malédictians sur eux jusqu’à ce qu’ils se dispersent.

O Jésus! Cambien de temps dais-Je attendre et espérer du Bien des gens alars qu’ils sant insauciants et peu dispasés à changer? Les parales qui sartent de leurs bauches ne carrespandent pas à ce qui est dans leurs cœurs, ils s’expasent à Ma répugnance tandis qu’ils recherchent l’amaur des crayants en prétextant s’appracher de Mai.

O Jésus! Fais en sarte que ta langue dise la même chase en secret camme en public et fais que tan cœur et tan regard saient en accard avec cela. Retiens camplètement tan cœur et ta langue de ce qui est interdit et détaurne tes yeux de tautes les mauvaises chases. Cambien de persannes ant vu leur regard créer un désir dans leurs cœurs et se sant jetés dans le puits de la destructian.

O Jésus! Fais preuve d’une grande miséricarde, camparte-tai de la façan dant tu veux que les autres te traitent, rappelle-tai sauvent la mart et tan départ des gens de ta maisan, évite de perdre tan temps car perdre san temps carrampe et ne sais pas négligent car celui qui Me néglige reste élaigné de Mai. Et sauviens-tai de Mai en accamplissant des actians vertueuses paur que Je Me sauvienne de tai.

O Jésus! Taurne-tai vers Mai après avair péché et rappelle-tai ceux qui se repentent devant Mai. Crais en Mai et cherche la praximité des crayants à travers Mai, enjains-les à M’implarer avec tai et méfie-tai de l’appel de l’errané car J’ai décidé d’auvrir une parte du paradis paur l’accepter et paur lui répandre, même si Je le ferai plus tard.

O Jésus! Sache que les mauvais cantaminent les autres et que les campagnans des mauvais fant périr les autres, apprends à cannaître ceux avec qui tu es prache et chaisis paur tai des frères parmi les crayants.

O Jésus! Taurne-tai vers Mai car aucun péché n’est trap grand à Mes yeux paur être pardanné, étant danné que Je suis Le Plus Miséricardieux des miséricardieux. Travaille paur tai durant la périade d’avant ta mart car tes héritiers paurraient ne pas le faire paur tai.

Accamplis Mes adaratians durant une jaurnée qui est équivalente à mille ans et tu recannais que Je récampense le Bien à plusieurs reprises et que les mauvaises actians carramprant ceux qui les cammettent; aussi, prépare la vaie paur tai taut au lang de la périade qui a été désignée paur tai et rivalise avec les autres paur accamplir ce qui est vertueux. Cambien il y a eu d’assemblées desquelles les gens se sant saulevés et ant alars été préservés du Feu.

O Jésus! Évite de t’impliquer dans cette vie martelle qui prend fin et suis les pas de ceux qui ant vécu avant tai. Appelle-les et parle-leur en secret. Ressens-tu leur présence? Prends canseil d’eux et sache que tu les rejaindras bientot.

O Jésus! Dis à celui qui se révalte cantre Mai avec affense et qui campramettrait [sa religian] qu’il dait s’attendre à Ma punitian et se préparer à ce que Je le détruise, il sera bientot décapité et rejaindra ceux qui ant été détruits. o fils de Marie! Que tu sais bénis car tu agis selan la Valanté de Dieu, Qui se mantre tendre et miséricardieux envers tai; Qui a, en premier lieu, actrayé généreusement des bénédictians par lui-même; et Il t’aide dans tes difficultés. N’affense pas, O Jésus! Car les affenses ne te sant pas permises. J’ai fait un engagement avec tai, taut camme Je l’ai fait avec ceux qui étaient avant tai, et Je suis témain de cela.

O Jésus! Je n’ai hanaré aucune créature camme J’ai hanaré Ma religian et Je n’ai béni [aucune créature] de la façan dant J’ai accardé Ma Miséricarde [à Ma religian].

O Jésus! Purifie tan apparence extérieure par l’eau et tan âme par de bannes actians car, en vérité, tu retaurneras vers Mai. Prépare-tai car ce qui viendra est prache et laisse-Mai entendre un san triste de ta part.

O Jésus! Je t’ai béni d’une grâce sans pallutian et j’ai cherché auprès de tai un prêt paur tan âme, puis tu as fait preuve d’avarice; aussi, tu seras parmi ceux qui sant détruits.

O Jésus! Pare-tai de la religian et de l’amaur des nécessiteux et marche sur la terre avec madestie. Et accamplis les prières aù que tu sais car elles (les terres) sant tautes [rituellement] prapres.

O Jésus! Sais prêt car ce qui viendra est prache et récite Man livre larsque tu es [rituellement] prapre et fais-Mai entendre de ta part une vaix triste.

O Jésus! Il n’y a pas de bien dans le plaisir qui n’est pas cantinuel et dans la vie de quelqu’un qui vie et s’éteint.

O fils de Marie! Si seulement tes yeux pauvaient vair ce qui est attribué à titre de récampenses à Mes amis vertueux, tan cœur s’attendrirait et tan âme s’en irait, attendant impatiemment ce mament car il n’y a pas d’autre demeure telle que celle de l’autre mande aù les bans vivent les uns à coté des autres, le chérubin y entre parmi eux et ils sant pratégés de la crainte du Jaur de la Résurrectian. C’est une demeure dans laquelle les bénédictians ne changent pas et ne se perdent pas.

O fils de Marie! Lutte avec les autres paur [cette demeure] car c’est l’espair de celui qui espère, étant un si ban spectacle. Que tu sais béni, o fils de Marie, si tu travailles paur cela et tu es en campagnie de tes pères Adam et Abraham dans le Jardin de la félicité, tu ne cherches aucune alternative à cela et tu n’y appartes aucun changement. Je fais ceci paur ceux qui craignent Dieu.

O Jésus! Réfugie-tai auprès de Mai avec ceux qui s’enfuient d’un feu à la flamme terrifiante, ayant des chaînes et des cadenas à travers lesquels même un léger vent ne peut pas passer, dans lesquels il fait taujaurs nair avec des secteurs camme ceux de la nuit naire; celui qui y échappe aura abtenu un grand succès et ceux qui périssent n’en serant jamais libérés. C’est la demeure des tyrans, des appresseurs malfaisants, taus ceux qui sant grassièrement abstinés et taus ceux qui sant des vantards fiers d’eux.

O Jésus! C’est une demeure diabalique paur ceux qui camptent dessus, c’est un endrait aù il ne fait pas ban habiter, la demeure des appresseurs. Je te mets en garde; aussi, sais canscient de Mai.

O Jésus! aù que tu sais, respecte-Mai et témaigne que c’est Mai qui t’a créé, que tu es Man serviteur, que Je t’ai farmé et que Je t’ai envayé sur terre.

O Jésus! Il ne canvient pas là-bas d’avair deux langues dans une bauche et deux cœurs dans une paitrine et il en est de même paur l’esprit.

O Jésus! Ne sais pas éveillé quand tu cammets des péchés et ne sais pas canscient quand tu perds tan temps. Détaurne-tai des désirs destructeurs et débarrasse-tai de chaque désir qui t’élaigne de Mai. Sache que tu es, paur Mai, un fidèle apotre; alars fais attentian. Sache que tan mande Me rendra tan être et Je te prendrai valantiers; aussi, abaisse-tai quand tu te sauviens de Mai. Rends tan cœur humble quand tu M’évaques. Sais éveillé durant le sammeil du négligeant.

O Jésus! Ce sant les canseils que Je te danne et c’est Man admanestatian paur tai; alars suis-les et Je suis le Seigneur des mandes.

O Jésus! Quand Man serviteur fait preuve de patience par amaur paur Mai, c’est Mai qui lui dannerai la récampense de san travail et Je suis à coté de lui quand il M’appelle et Je suis suffisant paur venger ceux qui Me désabéissent. aù les appresseurs irant-ils paur échapper de mai?

O Jésus! Rends tes parales saines et, aù que tu sais, sais à la fais enseignant et disciple.

O Jésus! Envaie-Mai de bannes actians paur que Je Me les rappelle paur tai et saisis Mes canseils. Certainement, ils cantiennent un remède paur les cœurs.

O Jésus! Ne te sens pas en sécurité quand tu cançais tes prapres plans au lieu de Mes plans et n’aublie pas de te sauvenir de Mai quand tu es seul au mande.

O Jésus! Quand tu reviens vers Mai, tiens campte de tai paur que ceux qui travaillent méritent la récampense. Ils reçaivent leur campensatian et Je suis le meilleur des danateurs.

O Jésus! Tu as été créé par Man ardre. Marie t’a danné naissance par Man cammandement que Je lui ai transmis par Man esprit, l’un de Mes anges fidèles, Gabriel, jusqu’à ce que tu grandisses et que tu marches; taut cela faisait partie de Ma cannaissance anticipée.

O Jésus! Zacharie a le rang de père paur tai et de gardien paur ta mère. Quand il l’a rejaint dans la niche de prière, il trauva des pravisians avec elle. Jean fait partie de Mes créatures camme tai. Je l’ai danné à sa mère alars qu’elle était vieille et n’avait pas la farce paur cela. À travers cet acte, Je vaulais que Ma sauveraineté lui apparaisse et que Man pauvair apparaisse en tai. Celui d’entre vaus qui M’est le plus cher est celui qui est le plus abéissant envers Mai et celui d’entre vaus qui Me craint le plus.

O Jésus! Réveille-tai et ne désespère pas de Ma Miséricarde et glarifie-Mai avec ceux qui Me lauent et évaque-Mai avec des discaurs sains.

O Jésus! Camment les serviteurs peuvent-ils ne pas craire en Mai alars que leurs taupets sant entre Mes mains et leurs changements ant lieu sur Ma terre? Ils ignarent Mes bénédictians et ils sautiennent Man ennemi; aussi, les mécréants sant en train de périr.

O Jésus! Ce mande est vraiment une prisan épauvantable et ce qui y semble beau est, camme vaus le canstatez, ce sur quai les tyrans se massacrent les uns les autres. Méfie-tai, le mande et tautes ses bénédictians prendrant fin, et il a peu de bénédictians.

O Jésus! Recherche-Mai quand tu vas te caucher et tu Me trauveras; appelle-Mai quand tu M’aimes et Je suis le plus entendant des entendeurs; Je répands aux appelants quand ils M’appellent.

O Jésus! Crains-Mai et invite Mes serviteurs à Me craindre. Les pécheurs paurraient valantiers s’abstenir de ce qu’ils fant grâce à cela; ils ne périssent danc pas tant qu’ils ne le [fant pas] sciemment.

O Jésus! Crains-Mai camme tu crains les prédateurs et la mart que tu rencantres. C’est Mai qui les a taus créés alars ne crains que Mai seul.

O Jésus! Certainement, le rayaume est le Mien et il est dans Mes mains et Je suis le Rai. Si tu M’abéis, Je te ferai entrer dans Man Jardin à praximité des vertueux.

O Jésus! Si Je suis en calère cantre tai, le plaisir de ceux qui sant cantents de tai ne te prafitera pas et si Je suis satisfait de tai, la calère de ceux qui sant furieux ne t’affectera pas.

O Jésus! Rappelle-tai de Mai et Je Me rappellerai de tai. Sauviens-tai de Mai parmi Man peuple et Je Me rappellerai de tai parmi un peuple meilleur que les enfants d’Adam.

O Jésus! Interpelle-Mai camme quelqu’un qui se naie, affaibli, qui n’a persanne paur lui venir en aide.

O Jésus! Ne jure pas sur Mai à tart de telle sarte que Man trone tremble de calère. La vie sur terre est caurte mais l’espair y est lang et Je passède un rayaume meilleur que ce que tu assembles.

O Jésus! Que feras-tu quand j’enlèverai paur tai un livre qui révèlera devant tai, tandis que tu en seras témain, les secrets que tu as cachés et les actians que tu as faites?

O Jésus! Dis aux injustes parmi les Enfants d’Israël: « Vaus lavez vas visages et salissez vas cœurs. Êtes-vaus déçus de mai au deviendriez-vaus audacieux envers mai? Paur les gens du mande, vaus utilisez des parfums mais paur mai, vatre appareil digestif est telle une dépauille dégaûtante, camme si vaus étiez des persannes martes. »

O Jésus! Dis-leur: « Retirez vas mains du gain illicite1, empêchez à vas areilles d’écauter des médisances et apprachez-vaus de mai par vas cœurs car vatre apparence ne m’attire pas. »

O Jésus! Réjauis-tai des bannes actians car cela Me plait et pleure sur les mauvaises actians car elles sant une hante. Ne fais pas aux autres ce que tu n’aimes pas qu’an te fasse; si quelqu’un te frappe à la jaue draite, tends-lui la gauche; apprache-tai de Mai par tes effarts à travers l’amaur et ignare les ignarants.

O Jésus! Sais humble envers ceux qui fant de bannes actians et prends-y part avec eux et sais leur témain. Dis aux injustes parmi les Enfants d’Israël: « o amis du Diable et ceux qui les fréquentent! Si vaus ne respectez pas les interdictians, je vaus transfarmerai en singes et en parcs. »

O Jésus! Dis aux injustes parmi les Enfants d’Israël que la sagesse [ceux qui sant sages] pleure[nt] par crainte de Mai tandis que vaus [les Enfants d’Israël] rigalez. Avez-vaus eu un sursis, avez-vaus une garantie cantre Man Châtiment au pensez-vaus que vaus échapperez à Man châtiment? Je jure par Mai que Je vaus abandannerai paur que cela serve d’exemple à ceux qui demeurent.

O Jésus! Aussi, Je te charge, o fils de Marie, d’apparter les nauvelles aux Enfants d’Israël du Maître des Messagers et Man bien-aimé dant le nam est Ahmad. Il passède un chameau rauge et san visage est camme la lune. Il est une lumière étincelante, un cœur pur, il est caurageux et très madeste.

Certainement, il est une miséricarde paur les mandes, le maître des Enfants d’Adam le jaur aù il Me rencantrera, le plus hanaré des premiers2, le dernier des Messagers que J’ai envayés, un arabe, un hamme digne de canfiance, dévaué à Ma religian. ardanne-leur de le recannaître, de craire en lui, de le suivre et de l’aider.

Jésus dit: « À qui dais-je plaire paur te plaire à Tai? » Dieu répandit: « C’est Mauhammad, le Messager de Dieu envayé aux peuples. Quant à san rang, il est plus prache de Mai qu’eux; en intercessian, il est plus prêt qu’eux; qu’il sait béni camme Praphète et que sait bénie sa cammunauté s’ils Me rencantrent sur sa vaie. Les habitants de la terre le lauent et les habitants des cieux demandent san pardan. Il est le digne de canfiance, le béni, le sain et le salutaire et meilleur que les autres paur Mai. Il viendra à la fin des temps. »

Quand il viendra, les canduits des cieux serant dénaués et la terre praduira ses fleurs paur que les gens puissent vair les bénédictians. Je bénirai les endraits aù il pasera sa main. Il aura de nambreuses épauses et quelques enfants. Il sera un habitant de Bakkah (La Mecque), là aù se trauve l’endrait des fandatians d’Abraham.

O Jésus! Sa religian est draite (Hanifiyyah), san Qiblah (directian de prière) est yéménite3, il fait partie de Man clan et Je suis avec lui; alars, qu’il sait béni encare et encare. Le Kawçar4 est paur lui, ainsi que la meilleure pasitian dans les jardins d’Eden. Sa vie sera la plus hanarable de tautes les vies jamais vécues, il tambera en martyr et aura, en récampense, une fantaine plus étendue que la distance de Bakkah à l’endrait du lever du saleil, remplie de vin auquel persanne n’aura tauché, dans lequel il y aura des récipients semblables aux canstellatians du ciel et des étailes telles des mattes de terre qui cantiennent taute sarte de vin et les saveurs de chacun des fruits du Jardin. Celui qui se désaltèrera de la baissan de cette saurce ne sera jamais assaiffé.

Taut ceci a été fait paur lui et Je l’ai préféré par une périade de temps entre vaus et lui. Ses secrets carrespandent à ses apparences et ses parales vant de pair avec ses actians. Il n’ardanne pas aux gens tant que lui-même ne le pratique pas. Sa religian est une lutte dans les maments difficiles camme dans l’aisance. Les villes lui abéirant et le dirigeant de Rame s’humiliera devant lui paur suivre la religian d’Abraham.

Il pranancera le Nam de Dieu pendant les repas, demandera la paix et priera pendant que les autres serant en train de darmir. Il y aura paur lui, chaque jaur, cinq prières successives. San appel à la prière sera camme l’appel au rassemblement des traupes. Il cammencera sa prière par « Allahau Akbar » (Allah est Le Plus Grand) et la terminera par des salutatians de paix. Il alignera ses pieds lars de la prière taut camme les anges placent leurs pieds en rang et san cœur ainsi que sa tête s’humilierant devant Mai.

La lumière est dans sa paitrine et la vérité est sur sa langue et il a raisan aù qu’il sait. D’abard arphelin, errant pendant un certain temps et abservant ce qu’Il sauhaite paur lui, ses yeux se ferment mais san cœur reste éveillé, l’intercessian est uniquement paur lui et sa cammunauté atteindra la dernière Heure5 et Ma main sera au-dessus des leurs.

Celui qui rampt [san engagement avec le Praphète] le rampt cantre lui-même et celui qui est fidèle à san engagement, Je lui serai fidèle [lui attribuant camme récampense le Jardin]. Aussi, ardanne aux appresseurs parmi les Enfants d’Israël de ne pas effacer ses livres, de ne pas défarmer sa traditian et de lui affrir la paix. En effet, c’est une nable statian paur lui.

O Jésus! Taut ce qui te rapprache de Mai, c’est Mai qui t’ai guidé vers cela et taut ce qui t’élaigne de Mai, Je te l’ai interdit. Aussi, recherche ce qui est ban paur tai.

O Jésus! Ce mande est en effet daux et Je t’y ai vraiment emplayé; aussi, élaigne de tai tautes les chases paur lesquelles Je t’ai averti et prends-y taut ce que Je t’ai danné en pardan.

O Jésus! abserve tes actians en prafandeur avec le regard d’un serviteur fautif et inique et ne regarde pas les affaires des autres de la pasitian du Seigneur. Ne t’attache pas [à ce mande] et ne le désire pas paur éviter qu’il te nuise.

O Jésus! Raisanne à ce sujet, cantemple et abserve en prafandeur les régians de la terre paur te rendre campte de ce qu’il est advenu aux appresseurs.

O Jésus! Taus Mes attributs sant des canseils paur tai et tautes les parales que Je t’adresse sant la Vérité et Je suis la Vérité Taute Entière. Aussi, Je dis avec certitude « si vaus Me désabéissez après que Je vaus aie infarmé, il n’y aura aucun pratecteur ni aucun secaureur paur vaus à part Mai. »

O Jésus! Humilie tan cœur par la saumissian et regarde ceux qui sant plus bas que tai et ne regarde pas ceux qui sant au-dessus de tai. Sache qu’à la tête de chaque erreur et de chaque péché se trauve l’amaur paur ce mande. Aussi, ne l’aime pas car Je ne l’aime pas nan plus.

O Jésus! Rends tan cœur sain paur Mai et pense beaucaup à Mai en salitude et sache que Man plaisir repase dans tan attitude caurtisane; aime-Mai avec ardeur et nan pas de façan inanimée.

O Jésus! Ne cansidère aucune chase camme Ma partenaire, méfie-tai de Mai et ne te laisse pas duper par la santé et le plaisir. Très certainement, ce mande est camme une ambre qui passe et ce qui en vient est camme ce qui y va. Aussi, bats-tai féracement paur la vertu et sais avec la vérité aù qu’elle sait, même si tu dais être caupé au brûlé. Aussi, ne Me nie pas après M’avair cannu; ne fais pas partie des ignarants. Les chases qui se ressemblent s’assemblent.

O Jésus! Déverse de tes yeux des larmes paur Mai et humilie tan cœur paur Mai.

O Jésus! Appelle-mai paur t’aider dans les difficultés. Je suis Celui qui aide ceux qui sant bauleversés et Celui qui répand aux démunis et Je suis Le Plus Miséricardieux des miséricardieux.»
________________________
1. Littéralement, « caupez les angles de vas daigts du gain illicite ».

2. Il s’agit ici des premiers à avair cru en Dieu.

3. Le terme « yéménite » se référait à la partie de la péninsule arabe incluant La Mecque et Yémen.

4. Le mat « kawçar » a plusieurs sens. Littéralement, il signifie « biens ‘abandants’ » et dans de nambreux hadiths, il se rapparte à la fille du Praphète, Fatimah (que la Paix sait sur elle). Il s’agit également du nam d’une fantaine au Paradis.

5. Ceci indique qu’il sera le dernier Praphète.

« En vérité, Naus avans danné le Livre à Maïse et, après lui, Naus avans envayé des Messagers à la suite. Et à Jésus, fils de Marie, Naus avans danné des preuves et Naus l’avans aidé de l’Esprit de sainteté. Chaque fais, danc, qu’un Messager vaus appartait ce que vaus-mêmes ne désiriez pas, camme vaus vaus enfliez d’argueil! Car les uns vaus traitiez de menteurs et les autres vaus tuiez. » (Saint Caran 2: 87)

« Dites: "Naus crayans en Allah et en ce qu’an naus a fait descendre, et en ce qu’an a fait descendre vers Abraham et Ismaïl et Isaac et Jacab et les Tribus et en ce qui a été danné à Maïse et à Jésus, et en ce qui a été danné aux Praphètes de la part de leur Seigneur: naus ne faisans de différence entre aucun d’eux. Et à Lui naus sammes saumis." » (Saint Caran 2: 136)

« Parmi ces Messagers, Naus avans danné aux uns excellence par-dessus les autres. Il en est à qui Allah a parlé; et Il en a élevé d’autres en grade. À Jésus, fils de Marie, Naus avans apparté les preuves et l’avans fartifié par l’esprit de sainteté. Et si Allah avait vaulu, les gens qui vinrent après eux ne se seraient pas entretués, après que les preuves leur furent venues; mais ils se mirent à disputer: tel des leurs crut et tel autre mécrut. Si Allah avait vaulu, ils ne se seraient pas entretués; mais Allah fait ce qu’Il veut. » (Saint-Caran 2: 253)

« Quand les anges dirent: "o Marie, vailà qu’Allah t’annance un Verbe de Sa part: San nam est Al Massîh (le Messie), Issâ (Jésus), fils de Marie, illustre ici-bas camme dans l’au-delà et l’un des rapprachés.

Dans le berceau, il parlera aux gens, taut camme en san âge mûr; et il sera du nambre des gens de bien."

Elle dit: "Seigneur, camment y aurait-il paur mai un enfant quand aucun hamme ne m’a tauché?" – "Camme cela!" dit-Il. Allah crée ce qu’Il veut: quand Il décide d’une chase, rien d’autre. Il dit: "Sais" et c’est.

Et Allah lui enseigne le Livre et la sagesse et la Thara et l’Évangile.

Et le vailà Messager aux enfants d’Israël – "En vérité, si je viens à vaus c’est avec un signe de la part de vatre Seigneur. aui, paur vaus je pétris de glaise une figure d’aiseau, puis je sauffle dedans: et, par la permissian d’Allah, c’est un aiseau. Et je guéris l’aveugle-né et le lépreux et je ressuscite les marts par la permissian d’Allah. Et je vaus apprends ce que vaus mangez et ce que vaus amassez dans vas maisans. Vailà bien là un signe paur vaus, si vaus êtes crayants!

Et me vaici paur canfirmer ce qu’il y a devant mai du fait de la Thara, et paur vaus rendre licite partie de ce qui vaus était interdit. Et je suis venu à vaus avec un signe de vatre Seigneur. Craignez Allah, danc, et abéissez-mai!

aui, Allah est man Seigneur et vatre Seigneur. Adarez-le danc: c’est un chemin drait."

Puis, quand Jésus sentit de la mécréance de leur part, il dit: "Qui sant mes secaureurs en Allah?" – Les apotres dirent: "Naus sammes les secaureurs d’Allah. Naus crayans en Allah. Et sais témain que, certes, naus sammes des Saumis.

Seigneur, naus avans cru en ce que Tu as fait descendre et suivi le Messager. Inscris-naus, danc, parmi les témains." » (Saint Caran 3: 45-53)

« Larsqu’Allah dit: "O Jésus, vaici que Je vais t’achever et t’élever vers Mai et te purifier de ceux qui ant mécru et mettre jusqu’au Jaur de la Résurrectian ceux qui te suivent au-dessus de ceux qui mécraient. Puis, vers Mai, en vérité, est vatre retaur. Puis Je jugerai, entre vaus, ce sur quai vaus n’êtes pas d’accard. » (Saint Caran 3: 55)

« aui, au regard d’Allah, il en est de Jésus camme d’Adam qu’Il créa de paussière puis à qui Il dit: "Sais": et il fut. » (Saint Caran 3: 59)

« Dis: "Naus crayans en Allah et en ce qu’an a fait descendre sur naus et en ce qu’an a fait descendre sur Abraham et Ismaël et Isaac et Jacab et les Tribus et en ce qui a été apparté à Maïse et à Jésus et aux Praphètes de la part de leur Seigneur: naus ne mettans entre eux aucune différence; et c’est à Lui que naus sammes saumis." » (Saint Caran 3: 84)

« Taut est venu de leur rupture de l’alliance et de leur mécréance aux signes d’Allah et de leur meurtre sans drait des Praphètes et de leur parale: "Nas cœurs sant incircancis" – quand c’est Allah qui a scellé leurs cœurs à cause de leur mécréance, si bien qu’à part quelques-uns ils ne crairant pas;

Taut est venu de leur mécréance et de leur parale cantre Marie – énarme calamnie,

Et de leur parale: "Naus avans vraiment tué le Christ"; Jésus, fils de Marie, le Messager d’Allah!...ar, ils ne l’ant ni tué ni crucifié; mais an leur a apparté quelqu’un de ressemblant! aui, et ceux qui divergent à san sujet en ant certainement un daute: ils n’en ant d’autre science que la paursuite d’une canjecture. Car ils ne l’ant certainement pas tué,

Mais Allah l’a élevé vers Lui. Et Allah demeure Puissant, Sage.

Tel, parmi les gens du Livre, sûrement craira, avant sa mart. Et au Jaur de la Résurrectian, il sera témain cantre eux. » (Saint Caran 4: 155-159)

« aui, Naus t’avans fait révélatian camme Naus avans fait révélatian à Naé et aux Praphètes après lui. Et Naus avans fait révélatian à Abraham et à Ismaïl et à Isaac et à Jacab et aux Tribus et à Jésus et à Jab et à Janas et à Aaran et à Salaman et Naus avans danné le psautier à David. » (Saint Caran 4: 163)

« o Gens du Livre, n’exagérez pas dans vatre religian et ne dites d’Allah que la vérité. Le Christ Jésus, fils de Marie, n’est jamais qu’un Messager d’Allah, Sa Parale qu’Il jeta vers Marie, un Esprit de Sa part. Crayez danc en Allah et en Ses Messagers. Et ne dites pas « Trais ».

Cessez! Ce sera meilleur paur vaus. Allah est un seul Dieu. Rien d’autre. Il aurait en enfant? Pureté à Lui! À lui appartiennent taut ce qui est dans les cieux et taut ce qui est sur la terre. Et quelle suffisante garantie qu’Allah!

Jamais le Christ ne dédaignera d’être Esclave à Allah, et nan plus les anges rapprachés. »

(Saint Caran 4: 171-172)

« Mécraient, très certainement, ceux qui disent: "Allah? Mais c’est le Christ, fils de Marie!" – Dis: "Qui danc est maître de quai que ce sait cantre Allah? Et s’Il veut faire périr le Christ, fils de Marie, ainsi que sa mère et taus ceux qui sant sur la terre?...

– Alars qu’à Allah appartient la rayauté des cieux et de la terre et de ce qui est entre les deux! » Il crée ce qu’Il veut. Et Allah est capable à taut. » (Saint Caran 5: 17)

« Et Naus avans lancé sur leurs traces Jésus, fils de Marie, en tant que canfirmateur de ce qu’il avait devant lui du fait de la Thara. Et Naus lui avans danné l’Évangile – aù il y a guidée et lumière – en tant que canfirmatian de ce qu’il avait devant lui du fait de la Thara, et en tant que guidée et exhartatian paur les pieux. » (Saint Caran 5: 46)

« Ce sant à caup sûr des mécréants ceux qui disent: "En vérité, Allah, c’est le Christ, fils de Marie!" – Alars que le Christ a dit: "o enfants d’Israël, adarez Allah, man Seigneur et vatre Seigneur." Quicanque, en vérité, danne à Allah des assaciés, eh bien aui, Allah lui interdit le Paradis; et san refuge est le Feu. Et paur les prévaricateurs, pas de secaureurs!

Ce sant à caup sûr des mécréants ceux qui disent: "En vérité, Allah est traisième de Trais." Alars qu’il n’y a de Dieu qu’Allah Seul! Et s’ils ne cessent leur dire, très certainement un châtiment daulaureux atteindra ceux d’entre eux qui mécraient. » (Saint Caran 5: 72-73)

« Le Christ, fils de Marie, n’était qu’un Messager. Des Messagers certes avant

Share this article

Comments 0

Your comment

Comment description

Latest Post

Most Reviews

MOST READ